PHOTO 2024 03 20 18 24 32
Baptiste Guyon et Anaïs Bourgoin

Objectif JO Paris 2024 … dans les pas des athlètes Batiste Guyon et Anaïs Bourgoin / Épisode 2

Poursuivons notre série dédiée à Baptiste Guyon et à Anaïs Bourgoin, qui se préparent pour les JO de Paris 2024. Si l’athlétisme est indéniablement le trait d’union entre ces deux sportifs, nous avons pu leur découvrir, avec étonnement, un certain nombre d’autres points communs.

Originaires du Loir-et-Cher

Baptiste Guyon est originaire du sud du département. D’ailleurs, il est toujours licencié à l’AC Romorantin et entraîné par Richard Ferrand, son coach depuis l’école d’athlétisme ! C’est avec lui qu’il continue d’user la piste Roger Bambuck. Aujourd’hui, le jeune homme est fier de représenter le département dans lequel il vit avec ses parents.
Si Anaïs Bourgoin ne réside plus dans le Loir-et-Cher, elle y reste toutefois attachée : « Je viens régulièrement, car mes grands-parents et ma famille habitent tous ici ». Bien qu’elle soit partie assez tôt du département, la « Vendômoise » comme elle est ainsi régulièrement désignée dans la presse locale, reste dans les personnalités qui font la fierté des locaux.

Les forces de l’ordre

Anaïs et Baptiste sont tous les deux engagés dans les forces de l’ordre. Professionnellement, Anaïs est policière en région parisienne. Baptiste, quant à lui, poursuit ses études de sport, tout en cumulant un contrat au 4e régiment matériel de Nîmes.

L’athlétisme, mais pas que

Le sport favori de Baptiste était avant tout le foot ! L’athlétisme est venu s’ajouter à cette passion par le biais de sa maman, Betty, qui pratiquait la course à pied depuis de nombreuses années. « Elle m’emmenait avec elle aux entraînements, j’aimais bien participer aux courses sur route le week-end avec elle. Au collège, j’alternais tous les jours foot et athlétisme, j’avais un emploi du temps aménagé exprès », explique-t-il.
C’est à partir de 14-15 ans qu’il s’est spécialisé dans la course de fond, délaissant progressivement le foot : « J’ai toujours su que je ferai cette discipline, car j’aimais le goût de l’effort, le fait de se dépenser et de tout donner. Et puis, tout petit, j’enchaînais les victoires. C’est marquant de recevoir des médailles, ça encourage, ça donne envie de participer et de recommencer ! », témoigne-t-il.
Baptiste Guyon foot @SO ROMORANTIN 2
C’est cette même soif de la gagne qui a encouragé Anaïs à emprunter la voie de la course. Et là aussi, c’est un peu grâce à sa maman, athlète. Cependant, elle a d’abord commencé par la gymnastique : « J’ai toujours pratiqué le sport à outrance, à 8 ans, je pouvais m’entraîner 10 heures par semaine. Le sport, c’est mon carburant depuis toujours ! », confie-t-elle.
ANAIS BOURGOIN gym1 @Images personnelles 2
Puis, elle s’est mise au triathlon, avec comme objectif, celui d’entrer en section de sport études. « J’aimais la combinaison des trois sports, mais je n’étais pas assez performante en vélo et à la natation. Ayant des bonnes prédispositions pour l’athlétisme, j’ai poursuivi dans cette voie », explique-t-elle. Ainsi, à 14 ans, elle a été acceptée au pôle espoir athlétisme de Talence près de Bordeaux.

Retrouvez prochainement Dans les pas de leur préparation.

Émilie Marmion

About Nawel Thabet

Check Also

inbound5276216557618619601

Dengue : 1 038 cas enregistrés en France dont 73 en Centre-Val de Loire

Le nombre de cas importés de dengue en France métropolitaine a considérablement augmenté depuis 2023. …

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Facebook
MEDIANAWPLUS